Notre position :
L'équipage est de retour en France
Mateo est resté à Nouméa
    
Dernière mise à jour : 13/06/2010

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Les copains d'à bord



Dernière mise à jour: 4 avril 2006


De temps en temps nous recevons de la famille, des copains, à bord de Mateo pour quelques jours, parfois une semaine voire deux.
Nous aimons bien ces visites, elles nous apportent un peu d'air extérieur, quelquefois aussi courriers et petits cadeaux. Ce sont pour nous des périodes qui ressemblent à des vacances car les enfants ont aussi une attitude un peu différente lorsqu'il y a du monde. Quand en plus il y a des enfants de leur age, ils sont heureux d'avoir des copains pour partager leurs jeux.
La conception du bateau permet de vivre sans trop se marcher sur les pieds, même lorsqu'on est un peu nombreux: nous avons été jusqu'à 9 (5 enfants et 4 adultes) à bord.
Nous demandons à ces visiteurs à la fin de leur séjour de faire un petit texte pour donner leurs impressions de la vie à bord. Certains ont commencé mais n'ont jamais terminé leur texte, d'autre se sont plié au jeu. Nous présentons dans cette rubrique ces impressions des "copains d'à bord".


Chrystèle et Olivier ont passé 10 jours avec nous à Moorea – décembre 2005
Arrivant de Paris sous la neige et le froid, ils ont apprécié leur séjour au soleil tahitien

Cathy, Didier et leurs 3 enfants sont venus naviguer 5 jours autour de Raiatea – mars 2006
Collègue ifremérienne arrivée à Tahiti depuis un an, ils ont débarqué avec Kevin (14 ans), Lison (11 ans) et Samy (8 ans).



 

Une journée à bord de Mateo à Tahiti:
(par Chrystèle et Olivier)

Vu par Chrystèle

Il est environ 7h00 – 7h30 à bord de Mateo, le réveil se fait tout en douceur. Quel jour est il ? Difficile à dire. En très peu de temps nous avons oublié les jours et les dates. Heureusement que Joëlle tourne les pages du calendrier tous les jours, ou presque, sans quoi nous serions complètement coupé du temps.

Il a encore plu cette nuit, juste pour nous rafraîchir et remplir les réservoirs d’eau douce, mais la journée sera encore belle. Il fait déjà chaud sur le pont. Au loin on voit Moorea et ses montagnes découpées qui tombent dans les eaux turquoises, azurs ou émeraudes selon la lumière et les fonds.

Dominique est déjà debout et prépare le café avec en fond sonore Radio Polynésie. Joëlle et les enfants émergent un peu plus tard, tout doucement pour prendre le petit déjeuner face à un paysage toujours aussi magique et changeant où le bleu et le vert dominent. Bleu et vert, deux couleurs qui à elles seules résument le voyage mais dont la diversité et les nuances ne peuvent se résumer en quelques mots. Il faut les voir changer au fil de la journée ou des mouillages.

Au loin passe une raie grise puis une raie léopard, parfois un requin....juste pour agrémenter notre réveil et le petit déjeuner. Je crois qu’en 10 jours il n’y a pas eu un matin sans une raie grise.

Radio Polynésie continue de nous accompagner, comme chaque matin. Entre deux chansons, nous avons les nouvelles d’ici mais aussi les nouvelles de France, y compris la météo... « risque de neige sur les Alpes, pluies verglaçantes... » ...... on sourit...... Ici la température est déjà proche de 30 et il n’est pas encore 9h.
Après un copieux petit déjeuner nous enfilons nos maillots de bain, les palmes, masque et tuba et en route pour 1 à 2h de plongée parmi les patates de corail à la rencontre des poissons multicolores.

Là, comment décrire les fonds sous marins, la variété des coraux, des poissons, des couleurs mais surtout cette impression d’être hors du temps, hors de tout avec pour seule activité celle de glisser entre deux eaux, de retenir sa respiration le temps de rejoindre un banc de poissons sur le fond, dire bonjour à la murène qui sort furtivement la tête de son trou ou au poisson clown dans son anémone.
Doucement, la tête et le corps pleins d’images et de sensations nous retournons vers le bateau.

A bord les enfants doivent se mettre à leurs cours.....cela se fait rarement sans plusieurs rappels à l’ordre mais les distractions sont si nombreuses..... Pour les grands c’est soutien scolaire ou activités vaisselle, repas, lessive ou farniente selon les moments, le temps ou les besoins du bord. Certains jours nous partons aussi pour un autre mouillage pour 1 à 2 heures de navigation en dehors du lagon.

Dans tous les cas, le cadre enchanteur laisse rêveur et la journée passe, tout en douceur, au rythme du bateau, au rythme de l’eau.

Un petit tour à terre ? C’est parti, Dominique prépare l’annexe et c’est visite du village ou ballade dans la forêt tropicale si riche et verte. Au détour d’un chemin, nous rencontrons des plantations d’ananas, des papayers, bananiers, pamplemousses et j’en passe, sans oublier le cocotier, omniprésent. Côté fleurs c’est la même chose, le tiaré et les hibiscus bien sûr mais aussi de nombreuses autres variétés toujours plus colorées et odorantes.

Début de soirée, Dominique se met aux fourneaux, Joëlle a déjà préparé le dessert dans la journée.

La journée se finit comme elle a commencé, tout en douceur. Le soleil se couche et les nuages se teintent de rouge. Tout est calme, paisible.
Autour d’un ti punch, et de sirop pour Sylvain et Florian, la journée s’achève. Encore un lever de lune qui éclaire la mer et tout le monde rejoint sa cabine.

Demain sera comme hier, comme aujourd’hui, une journée toute aussi douce et pleine de magie et d’images toujours plus belles. Peut être un nouveau mouillage encore plus enchanteur ? Ou alors encore une nuit de plus dans notre petit paradis ?
Ce ne sont que quelques mots et impressions d’une journée avec les Mateo en Polynésie. Il faut le vivre, les mots à eux seuls ne peuvent résumer un tel voyage.
La seule chose à ajouter c’est un énorme merci à vous quatre, Dominique, Joëlle, Florian et Sylvain pour nous avoir permis de vivre un petit bout de votre rêve. Merci pour votre accueil et votre gentillesse et cette superbe expérience à vos côtés.


Vu par Olivier

Il est 9 heures du matin sur le quai de la marina Taina à Tahiti. Chrystèle et moi venons de tester nos ponchos pour nous protéger de la pluie de Décembre en attendant Mateo. Un plaisancier amarré tout près nous propose gentiment de s'abriter sur son bateau, nous acceptons avec plaisir d'autant plus que l'averse redouble d'intensité. En quelques mots il nous apprend qu'il est breton (de St Cast le Guildo) et qu'il a délaissé depuis bien longtemps la "pluie bretonne" pour le climat polynésien à bord de son voilier. Pendant ce temps, Mateo accoste au quai. Nous retrouvons alors toute la famille sur le pont: Joëlle, Dominique et leurs enfants Florian et Sylvain. Moi qui ne les connaissais qu'à travers leur récit du voyage et leurs photos sur le site Internet je suis ravi de les rencontrer et de monter à bord. Nous allons vivre avec eux une bonne dizaine de jours à bord de Mateo autour de l'île de Moorea.

Le temps de faire le plein de nourriture et de carburant pour quelques jours nous quittons la marina en faisant route pour Moorea. Nous laissons derrière nous l'île de Tahiti et ses sommets ennuagés pour une traversée sous le soleil. La mer, en apparence bien calme, ne parvient pas à se faire oublier de mon estomac. Bien vite les premiers bâillements si caractéristiques chez moi des prémices du mal de mer apparaissent. Mais je résiste! Et je constate, presque rassuré de ne pas être le seul, que Chrystèle n'est pas non plus au mieux de sa forme! Cependant, cela ne suffit pas à altérer ma curiosité et de temps en temps je passe la tête par-dessus le roof pour apercevoir Moorea. Ce n'est quand même pas un simple mal de mer qui va m'empêcher de profiter d'un tel spectacle surtout après avoir parcouru tant de kilomètres depuis la France! Heureusement, au passage de la passe de Viaire la présence des dauphins et la splendeur des montagnes verdoyantes posées sur le lagon me fait bien vite oublier mon estomac.

Nous naviguons dans les eaux transparentes et peu profondes du lagon jusqu'à une baie où nous accueillent des raies devant le bateau. Nous mouillons dans ce petit paradis dont seule la présence de quelques bungalows sur pilotis nous rappelle où nous sommes. A peine l'ancre jetée les enfants et moi se mettons à l'eau pour se "rafraîchir". Beaucoup de rigolade pour cette première baignade et de nombreux plongeons depuis le bateau. Sylvain et Florian s'amusent de mes bombes qui font beaucoup de vagues, moi aussi d'ailleurs. Un peu plus tard personne ne résiste à l'envie de chausser les palmes et le masque pour une balade en apnée. Inutile de s'étendre sur la clarté de l'eau, sa température et les nombreuses patates de coraux qui dessinent des labyrinthes dans lesquels nous évoluons en suivant toutes sortes de poissons multicolores. De retour au bateau les sourires se lisent sur le visage de Chrystèle et sur le mien comme pour rappeler la satisfaction d'être vraiment arrivé au cœur de nos vacances. A mon grand étonnement Sylvain et Florian sont tout autant excités que nous alors que leurs précédentes escales dans des d'endroits tout aussi somptueux auraient pu laisser croire à une certaine forme de lassitude. Il n'en est rien, leur regard est toujours neuf. La fin de journée est proche et la préparation du repas commence. Pendant ce temps les enfants découvrent les deux Dvd que Chrystèle et moi leur avons offert. Ils sont visiblement ravis, ce qui me fait très plaisir. Aussitôt les négociations avec leurs parents sont entamées pour décider du moment où ils pourront visionner les films. Âpres discussions qui débouchent sur un compromis qui va devenir un grand classique de la vie à bord: loisirs en échange de travail des cours du Cned. Et oui, le voyage ne fait pas l'impasse sur l'école! Je me rends vite compte que la vie à bord est souvent rythmée par les cours. Pour clore cette première journée Dominique nous prépare un ti-punch que chacun apprécie lentement. Après le repas le sommeil me gagne bien vite. Je rejoins ma cabine. Le séjour à bord de Mateo commençait bien !

Les jours qui suivront se dérouleront selon un emploi du temps bien établi. Tout d'abord avec le petit déjeuner vers 7h30 avec vue sur le lagon en écoutant France Inter et ses prévisions météo glaciales de la métropole! Puis vers 9 heures je chausse les palmes et le masque avec Chrystèle pour la balade du matin parmi les poissons et les coraux dans moins de 3 mètres de fond. Les enfants nous accompagnent la plupart du temps, évidemment ils sont très à l'aise dans le milieu aquatique. Chaque mouillage nous permet de découvrir des espèces de poissons et de coraux différents. Certains sites sont plus riches que d'autres. Je remarque d'ailleurs que cela va crescendo depuis notre départ. De plus, certaines rencontres semblent devenir routinières. En effet, chaque jour j'ai rendez-vous avec une murène différente, cela devient vraiment ma spécialité! Parfois, après quelques secondes d'observation autour d'une patate de corail sort l'un de ces charmants spécimen sans doute agacé par le trop plein d'intérêt porté à ces polypes dont elle a fait son repaire! La première fois peut surprendre, ensuite on s'y prépare, du moins on essaye! D'autres rencontres auxquelles on est en droit de s'attendre dans un lagon polynésien peuvent surprendre. Je pense notamment à la vision furtive d'un requin à pointes noires probablement effarouché par ma présence puisque à ma vue il se détourna dans le sens opposé de sa trajectoire initiale. Quelques secondes plus tard, un soudain remous provoqué par un gros poisson à quelques mètres de Chrystèle et moi a suffit pour nous inciter à rester groupés pendant nos plongées: la peur du requin?! La dernière rencontre étonnante eu lieu en la présence de Joëlle et Chrystèle entre deux motu de la pointe Ahuru. Nous étions en pleine contemplation sous marine quand Joëlle m'interpelle et me dit "Olivier, regarde le gros poisson qui nage à côté de toi, il est très grand!". En effet, en replongeant la tête sous l'eau j'aperçois un magnifique poisson d'environ 1m20 qui n'est rien d'autre qu'un barracuda solitaire. La réputation de ce poisson se rapprochant de celle des requins dans mon imaginaire je m'empressai de prendre mes distances. Cela ne nous a pas empêché de rire quand Joëlle a su ce qu'était le gros poisson en question. De retour au bateau, nous préparons le déjeuner, en général une salade.

La seconde partie de la journée est soit consacrée à une nouvelle plongée soit à une navigation vers un autre mouillage. Lors de notre arrêt dans la baie de Opunohu nous en avons aussi profité pour descendre à terre faire une magnifique balade par le Sentier des Ancêtres. Celui-ci nous a mené à travers les champs d'ananas et la forêt le long d'un ruisseau jusqu'au belvédère. Le point de vue sur la baie de Cook, le mont Rotui et la baie de Opunohu est magnifique depuis là-haut. En redescendant vers le bateau nous fîmes un arrêt au stand de boissons fraîches du lycée agricole où nous avons dégusté des jus de fruits frais à base d'ananas. Une rapide visite des cultures du lycée nous a permis de découvrir de nombreuses plantes fleuries et d'arbres portant des fruits. Comme souvent l'après-midi est consacré aux activités scolaires des enfants. Cette activité pourrait à elle seule faire l'objet d'un chapitre entier tant il y aurait à raconter de petites scènes sur le sujet. En effet, la motivation pour se mettre au travail n'est pas toujours au rendez-vous et les enfants sont souvent à la recherche de stratagèmes plus ou moins subtils pour retarder le plus possible le début de la leçon. Parfois il s'agit d'un cahier d'histoire introuvable à bord, parfois c'est un stylo qui s'est volatilisé dans le carré ou encore un retard dû à une autre activité en cours "de plus grande importance" comme un dernier plongeon, le dernier étant souvent l'avant-avant-avant-avant dernier! Et quand le cours débute, souvent avec l'aide de Joëlle et Dominique, tout est prétexte à la déconcentration: une chamaillerie entre frères pour un pied qui touche le cahier de l'autre ou une raie qui passe sous le bateau. Il faut bien avouer que travailler dans un tel environnement où tout peut être prétexte aux loisirs n'est pas si simple surtout lorsque Chrystèle et moi partons pour notre deuxième plongée de la journée en les laissant à leur travail.

Lorsque la nuit tombe vers 18h30 Dominique s'affaire à la préparation du ti-punch ou du punch coco. Puis, en fonction du nombre de moustiques présents dans les parages et de la température nous dînons soit dans le carré soit à l'extérieur. Ainsi nous goûtons aux spécialités du bord comme le poulet coco de Dominique, le yaourt de Joëlle, le poe banane de Chrystèle. L'après repas est souvent consacré au visionnage des photos du voyage ou au visionnage des Dvd que nous avons apporté mais, une chose est certaine, personne ne veille bien tard et chacun rejoint bien vite sa couchette pour un sommeil réparateur.

Alors, prêts pour une journée à bord de Mateo ?

Pour les possesseurs d'une connection "haut débit", 2 vidéos réalisées par Chrystèle et Olivier lors de leurs passage à bord de Mateo en décembre dernier, sont disponibles sur les liens ci-dessous.

    



    




La famille Hommel en vacances


Tout avait commencé par une petite phrase lancée lors du départ de Mateo de Vairao :
"Ah, on partirait bien avec vous ! "
Et Joëlle de répondre :
- " Mais pourquoi ne viendriez-vous pas passer quelques jours à bord ? "
- " C’est impossible, nous sommes une famille de 5 personnes ! "
- " Il y a de la place, on peut s’arranger, réfléchissez "

Alors nous avons réfléchi, mais pas longtemps (des fois qu’on se ferait piquer la place) et nous avons profité des vacances scolaires de mars pour embarquer 5 jours à bord de Mateo.
Le vendredi 10 mars, après 40 min de vol, nous atterrissons donc à Raiatea sous la pluie, et arrivons au chantier où Mateo vient de retrouver son élément naturel après s’être refait une beauté.
1ère opération : les courses. C’est qu’il en faut pour nourrir une famille de 9 personnes ! Joëlle et Cathy ne passent pas inaperçues dans le magasin avec un caddie plein à ras bord, en arrivant au rayon Hinano. Heureusement, un client est allé chercher un panier qui fut rapidement rempli lui aussi à ras bord avec le précieux breuvage.
2ème opération : S’installer pour la 1ère nuit. Samy dans la cabine avant avec Sylvain, Kevin dans l’autre cabine avec Florian, Lison sur un matelas dans le carré et les parents sur la banquette du carré transformée en lit, grâce à un savant empilage de bidons d’eau, surmontés de chevrons miraculeusement sortis de l’atelier d’Ali Baba.

Le lendemain matin c’est le départ pour le sud de Raiatea, sous un soleil qui n’a pas tardé à être caché par les nuages. Des dauphins sont même venus nous souhaiter un bon voyage. Le premier mouillage se trouve à proximité d’un joli motu, et c’est dommage que le ciel soit resté gris car l’endroit était magnifique. Heureusement que le temps s’est amélioré au fil des jours, nous avons même fini le séjour sous un soleil de plomb.

Pendant la 1ère étape, les enfants sont plongés chacun dans leur Super Picsou Géant. Puis, au fur et à mesure des navigations, ils sont passés des calmes lectures, aux séances animées de Uno, Mille Bornes ou Jungle Speed, parfois aussi ils étaient absorbés, chacun avec un bout, à réaliser tous les nœuds présentés sur un dépliant. Lors des escales, c’étaient des parties sans fin de "Préfet" qui est en fait un "Loup" sauf que ça s’appelle un "Préfet". Le terrain de jeu n’est pas mal : entre le pont du bateau et l’eau du lagon à 30 ° il y a de quoi faire. Il y avait aussi des séances de plongeons et de pêche, Kevin ayant découvert les joies de la pêche sous-marine. Notre seule crainte était qu’il pêche un Samy qui ne pouvait pas s’empêcher de lui tourner autour malgré les interdictions répétées.

Dès le premier jour de navigation nous entendons Joëlle parler d’un certain "Knède" dont Florian devrait s’occuper ??? Mais à l’évocation de ce nom, Florian replonge de plus belle dans son bouquin. Les 2 jours suivants Joëlle et Dominique ont continué à évoquer régulièrement ce mystérieux "Knède" ce qui avait pour effet de mettre Florian en colère, mais ils ont fini par abandonner et du coup, nous n’aurons pas vu une seule fois cette étrange bête, qui d’après ce que nous avons compris était tout près de nous dans le bateau, brrr ça donne froid dans le dos. Et si c’était dangereux un "Knède" ?
Mais bon avec le programme chargé qu’avaient les enfants, on peut comprendre que ce "Knède" n’était pas la priorité. D’autant plus que les soirées se prolongeaient souvent assez tard : discussions, allongés sur les trampolines au clair de lune pour les grands, pêche pour Samy.

Pour les parents, les navigations étaient bien plus calmes, les mamans papotant souvent à l’avant alors que les papas restaient à la barre, attentifs (du moins on le pense) à la route. Les escales étaient aussi moins sportives que pour les enfants, baignade dans les eaux claires et/ou petit tour de kayak. Cela n’empêchait pas Joëlle de piquer un petit somme après le déjeuner, histoire d’être bien en forme pour l’apéro du soir. Eh oui il y a tout de même des impératifs qu’on ne peut éviter à bord !

Evidemment, nous pourrions aussi vous parler des superbes couleurs du lagon, des levers de soleil, des raies nageant autour du bateau, etc ... mais Dominique et Joëlle le font déjà tellement bien que nous ne nous étendrons pas sur le sujet ...
Que dire de plus sinon remercier encore une fois toute la famille de nous avoir accueillis à bord pour nous permettre de découvrir la Polynésie "côté mer" si différente de celle que nous connaissons "côté terre".

Cathy et Didier


    

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